Retour sur notre conférence JeDII du 16/07 animée par Adèle Bouscasse et Charline Contal

Retour sur notre conférence JeDII du 16/07 animée par Adèle Bouscasse et Charline Contal

Retour sur la conférence JeDII du 11 juillet dernier : La FemTech : le secteur des innovations en santé féminine en plein essor animée par Adèle Bouscasse, CEO de Maholi et diplômée d’IRIIG et Charline Contal, co-fondatrice de reBloom. Cette conférence a permis de mettre en lumière les enjeux et les innovations technologiques dédiées à la santé des femmes. 

Adèle Bouscasse a ouvert la discussion en présentant les bases de la Femtech. Ce domaine englobe toutes les technologies destinées à améliorer la santé et le bien-être des femmes, incluant des solutions pour la gestion du cycle menstruel, la fertilité, la grossesse, la ménopause et la santé sexuelle. Elle a souligné l'importance croissante de cette industrie, qui répond à des besoins souvent négligés par la technologie traditionnelle de la santé. La Femtech représente non seulement une opportunité de marché considérable mais aussi une avancée essentielle pour l'amélioration de la qualité de vie des femmes.  

Charline Contal a ensuite pris la parole pour détailler les avancées actuelles dans le domaine de la Femtech. Elle a présenté plusieurs exemples de produits innovants qui visent à améliorer la qualité de vie des femmes. Parmi ces innovations figurent des dispositifs de suivi de la fertilité, qui permettent aux femmes de mieux comprendre leur cycle menstruel et de planifier leurs grossesses. Elle a également mentionné des applications mobiles qui aident à gérer les symptômes menstruels et à surveiller les paramètres de santé liés au cycle. Charline a évoqué des solutions pour la ménopause, comme des thérapies hormonales personnalisées et des outils de suivi des symptômes.   

Les conférencières ont ensuite abordé les défis que rencontre la Femtech. Adèle Bouscasse a insisté sur le besoin de sensibilisation et d'éducation pour surmonter les tabous entourant la santé des femmes. Elle a expliqué que malgré les progrès, il existe encore une stigmatisation sociale autour de nombreux aspects de la santé féminine, ce qui peut freiner l'adoption et l'investissement dans les technologies Femtech. Le financement reste un obstacle majeur, avec des investisseurs souvent réticents à soutenir des projets qu'ils considèrent comme de niche. De plus, il existe des défis réglementaires, chaque marché ayant ses propres exigences en matière de conformité et d'approbation des nouveaux produits. 

Pour conclure, Charline Contal a partagé sa vision de l'avenir de la Femtech. Elle a exprimé son optimisme quant à l'impact positif que ces technologies peuvent avoir sur la vie des femmes. En permettant un meilleur accès à l'information et à des outils de gestion de la santé, la Femtech peut contribuer à réduire les inégalités de santé entre les sexes. Charline a souligné l'importance de la collaboration entre les différentes parties prenantes – entreprises, professionnels de la santé, et décideurs politiques – pour continuer à innover et à répondre aux besoins spécifiques des femmes. Elle a également évoqué le potentiel de la Femtech à s'intégrer dans des systèmes de santé plus larges, permettant ainsi une approche plus holistique et personnalisée des soins de santé.  

Adèle Bouscasse a partagé des cas d'usage concrets et des témoignages de femmes ayant bénéficié des technologies Femtech. Elle a illustré comment ces innovations ont permis à des femmes de prendre un contrôle accru sur leur santé reproductive, de réduire les symptômes liés à la ménopause et d'améliorer leur bien-être général. Ces exemples ont démontré l'impact tangible de la Femtech sur la vie quotidienne et ont souligné la nécessité d'une adoption plus large. 

Pour finir, les conférencières ont lancé un appel à l'action, encourageant les participants à soutenir et à investir dans la Femtech. Elles ont insisté sur le fait que chaque acteur de l'écosystème de la santé a un rôle à jouer dans la promotion et le développement de technologies qui répondent aux besoins des femmes. L'innovation en Femtech ne concerne pas seulement le développement de nouveaux produits, mais aussi la création d'un environnement favorable à leur adoption et à leur utilisation effective. 

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IRIIG vous explique quelle est la différence entre un titre RNCP et un Grade de Master !



Les titres RNCP de niveau 7 sont des certifications équivalentes à un Bac+5 et sont reconnus par l’Etat Français et le Ministère du Travail. Le Grade de Master, quant à lui, relève de la compétence du Ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.
La Commission d'évaluation des formations et diplômes de gestion (CEFDG) dépend de ce ministère et évalue les programmes des établissements d’enseignement supérieur privé pour les autoriser à délivrer le grade de licence ou de master, exigeant notamment qu’au moins 50% du corps professoral permanent détienne un doctorat.

Une des spécificités d’IRIIG est de fournir à ses étudiants une expérience concrète du monde professionnel non compatible avec ce ratio de 50%, avec des interventions assurées par les meilleurs professeurs de la région mais surtout par des experts reconnus, des entrepreneurs et de vrais dirigeants en activité. Ils peuvent ainsi enseigner à nos élèves la réalité opérationnelle de l’entreprise.

Un titre RNCP obtenu à IRIIG atteste de l'acquisition de compétences, d'aptitudes et de connaissances en adéquation avec les besoins du marché du travail d’aujourd’hui et surtout de demain.

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